Chambre 01 Kyo/Louis

Le jeune français avait précédé son camarade pour se rendre dans la chambre. En fait l'un comme l'autre metteit un point d'honneur à mettre une grande distance entre eux et l'infirmière. Par chance avec son entorse elle n'avait pas pu leur courir après. OK planté une jeune femme blessé et s'enfuir comme le dernier des voleurs n'est pas très sérieux mais là c'était une question vitale. Louis prit note mentalement de trouver l'infirmerie pour s'en tenir très loin.

Il ouvrit la porte de sa, enfin leur chambre. Pour lui s'était nouveau, en bon fils unque il n'avait jamais rien partage et il angoissé un peu à l'idée de mal se comporter, il ne connaissait rien aux règles de vie en communauté.

Il se mit au centre de la pièce pour mieux la voir. Basique et aseptisé c'est le mot qui lui vint à kl'esprit. Deux lits, deux armoires; deux bureux, deux chaises et deux poubelles. Il poussa un soupir et s'asied sur son lit en atendant Kyo

Kyô arriva à la suite de Louis. Il s'en voulait d'avoir laisser l'infirmière blessée, sans aide et avec toute sa paperasse dans les bras mais d'un autre côté ... Il soupira éloignant ces idées de sa tête entrant dans ce qui serai sa chambre qu'il partagerait avec lui. En tout cas ça lui allait, au moins il connaissait déjà son colocataire et il s'entendait bien avec lui alors quedemander de plus ?

Il jetta un coup d'oeil alentour, et vit que tout était prévus pour les deux jeunes hommes. Il pris soin de fermer la porte à clef derrière lui et s'avança vers l'autre lit sur lequel il s'assit.

"C'est ... sympa on va dire. Il nous faudra peut-être couvrir ce papier peint afreux mais bon ...
Elle était bien bizarre quand-même cette infirmière, au moins elle m'a donné l'envie derester en forme parce que je préfèrerais qu'elle ne me soigne pas."

"C'es sûr que niveau déco c'est à revoir, mais bon, au moins on est en sécurité là. Elle n'ira pas jusqu'à défoncer la porte, enfin j'espère. Tu as entendu alors qu'on partait, je vrois qu'on est bon pour une colle. C'est injuste, qu'est-ce qu'elle a besoin de fouiller dans notre passé médical?"

Il se renfrogna puis explosa de rire, en se rappelant de l'infirmière à terre.

"Bon on pourra dire au moins que nous nous sommes bien fait remarqué dès le départ. Prochaine étape trouver des sorties plus discrètes que le grand portail."

Il continua de rire en ouvrant son sac et il commença à ranger, tout son fatras. Tiens il n'avait pas fait gaffe à un meuble de chevet. Tant mieux. Il y rangea des livres et son matériel de dessin. Dessus il déposa divers figurines du monde de la fantaisy.

Kyô se mit à rire au mot "heure de colles", mouais c'est ça, et puis quoi encore ?

"Depuis quand les infirmières donnent-elels des heures de colles ? Elle bluffait je pense, sérieusement. Juste pour nous faire venir mais là elle est mal partie !"
Il acquiesca aux paroles de Louis.

"J'aurai préféré qu'on ne sache pas que je suis là mais bon, on avait encore rien fait de répréhensible pourtant."

Il sortit lui aussi ses affaires et les rangea. Il sortit des livres et des mangas qu'il posa sur sa table de chevet et un babuko qu'il mit sur son bureau.

"Tu sais quoi ? Pour la déco c'est pas grave, quand on s'octrora une journée de week-end en plus, on pourra trouver des trucs en ville. Pour le moment ce n'est aps le plus important."

Pas faux, mais bon avec elle je me méfie, elle me paraît sacrément atteinte.

Il regarda par la fenêtre puis Kyô, puis s'écroula lamantablement sur le lit. Il regardait le plafond en écoutant le japonais.

Tu te rends compte on vient de commencer et on pense déjà à sécher. J'adore cette idée ! Il faudra que tu me serves de guide, parce que je n'ai jamais mis les pieds au japon de toute ma vie et je t'avoue que je suis assez maladroit.

Le français se redressa

Mon père avait le choix avec les Etats-Unis, il a préféré ici. Bon qu'est-ce qui est le plus important ?

Tu as raison !

Kyôse mit à rire, apparament l'infirmière avait réussié à faire excatement le contraire de ce qu'elle aurai du fauire. Elle était sensée installer un atmosphère de confiance et il sentait qu'avec Louis, ils passeraient leur temps à l'éviter soigneusement.

"Ouais je sais, mais je comptes pas le faire tout le temps, de temps en temps juste quand ça deviendra trop ennuyeux quoi. Quand au guide je veux bien ! Mais en fait je ne viens pas de cette ville ! Ca devrait pas poser de problèmes même si je ne susi pas de cette ville, avec mon frère on l'a bien visitée avant qu'il me présente à cette école donc ..."

Kyo eu un sourire, le plus important ...

"Ba étant donné que nous sommes dans une école, je dirais ... les cours. Ca m'ennuies d'y aller mais nous sommes là pour apprendre et donc obligation d'aller en classe.

En espèrant que toutes les profs ne soient pas du style de certaines quoi !"

Moi, non plus je ne compte pas sécher tout les quatre matins. Mais un journée par-ci, par là, ça ne peut pas faire de mal. Et puis si je reste trop longtemps absent, compte sur mon père pour me faire passer l'envie de sécher les cours.

Louis prit son sac qui traînait et l'ouvrit pour regarder le programme de l'année. Il soupira, il ne comprenait pas du tout l'organisation de ce pays.

Ba, je pense que c'est une exeption. Enfin j'espère pour nous. Sinon je demande l'asile politique au consulat français. Je ne comprend pas trop comment les cours sont organisés. C'est vraiment bizarre. Nous,nous avons cours 4 jours en entier et un demi jour par semaine. Et des vacances tous les deux mois voir moins. j'espère que je vais réussir à m'intégrer.

[Par contre désolé si jemet du tempsà répondre dans les prochains jours, j'ai des problèmes avec mon internet et ça risque donc d'être difficil pour moi de venir, mais j'arrêtes pas de jouer pour autant !]

Kyô acquiesca d'un signe de tête aux paroles de Louis quant au projet de sèchage de cours. Il prit doucement son propre programme ne voyant pas trop ou était le problème, mais faut dire qu'il avait l'habitude.

"Nous avons pas beaucoup de vacances mais faut dire que nous finissons très tôt les cours l'arpès-mide, comem le font les anglais. Et les cours sont très espacés ... La plupart du temps nous avons plusieures activités extra-scolaires pour ne pas nous ennuyer, d'ailleurs il y a un grand choix dans les écoles.
Je comptes reprendre la karaté et le kendo comme l'année dernière, peut-être un autre sport aussi. Un occidental pour changer ... mais je ne sais pas lequel serait le meilleur, je connais le foot et y ai déjà joué mais pour les autres ... Et peut-être une autre activité plus artistique aussi ... J'ai vu que tu avait de quoi dessiner, je dessines un peu mais comme tout bon nouveau japonaisque je suis, ba ce 'est que des mangas pour le moment, j'aimerai pouvoir dessiner autre chose aussi."

Se tournant vers Louis.

"Tu comptes faire quoi Louis-san ?"

Le jeune français écouta les explications de son colocataire attentivement. Ca semblait plutôt sympa comme système, de toute façon il jugerait avec le temps. Il ne devait pas se fier à ses premières impression, lui qui avait toujours eut du mal en société. Mais son père avait déclaré qu'il était temps qu'il devienne moins sauvage.

Je ne sais pas trop, je vais peut être prendre des cours pour améliorer mes dessins, après je t'avoue que je suis assez perplexe. Vous semblez accorder de l'importance au sport et je ne suis pas fait pour les sports collectifs, j'aurai trop de problèmes avec les autres garçons comme en France. Je me laisserai peut être tenter par un sport indivuduel. tu me recommanderai quoi ?

Louis-san ? Ah oui ! Son père lui avait expliqué, mais il avait vraiment du mal.

Kyô écouta la réponse de Lousi en hochant la tête ... lui non plsu n'aimait pas trop les sports collectifs, à part le foot, et encore c'était pas son préfèré. Il réfléchit un instant avant de répondre.

"Et bien, le karaté et le kendo sont des sports individuels ... tu t'entraînes avec d'autres personnes mais le plus souvent tu fais des mouvements face à la glace et en ligne. Tu te retrouve contre un adversaire à la fin pour te battre mais ça dure pas longtemps ... sinon je sais pas trop. Comme sports individuels tu as l'athlétisme, là tu es vraiment seul et tu n'a pas besoin d'être avec quelqu'un d'autre."

Kyô ne savait pas si sa réponse était assez précise ou si elle conviendrai à Louis, c'est vrai que ça ne devait pas être facil de choisir parmis une panoplie de sports.

"C'est vrai qu'on accorde beaucoup d'importance au sport, mais en fait, les élèves ont beaucoup d'activités extra-scolaires et pas que le sport."

Le brun hocha la tête :

De l'athlétisme peut être. On verra bien ça ne presse pas à la minute.

Le brun ne put se retenir et éclata de rire :

Je dois te paraître ridicule avec toutes mes questions. J'espère ne pas trop t'embêter, mais en fait je n'ai pas envie de comettre d'impair et de me faire ridiculiser. Au final c'est peut être plus cool que le système français, je verrai bien à l'essai.

Louis fixa le jeune homme sans réellement le voir, il secoua la tête et revint sur terre :

Vu qu'on va vivre ensemble, se serait bien de mieux se connaître, enfin je pense. Donc tu viens de Kyoto, tu vis avec ta mère et quoi d'autres des frères, des soeurs, célibataire ou amoureux transi.... ?

Kyô acquiesça avant de répondre en riant.

"En fait je vis à côté de Kyoto, pas réellement dans. Je vis avec ma mère, mon grand-fère Noda s'occupe aussi de la maison. Il aide ma mère à s'en sortir et rapporte une paye en plus, ma mère étant coutuière on en a besoin. Sinon j'ai deux grandes soeurs, qui sont plsu jeunes que Noda. Sakura et Fubuki, et la petite dernière Aoi qui est née pas longtemps après la mort de mon père.

Une petite amie j'en ai eu une pendant deux semaines, c'était pas du sérieux ... on c'est rendu comtpe qu'on étaient plus fait our être amis.

Et sinon ma famille fut l'une des plsu grands familles samurai de l'époque de ceux-ci, particulièrement sous les Heian ..."

Une lueure de fierté apparue une seconde dans les yeux de Kyô, les samurai étaient toujours très considérés chez les japonais même maintenant qu'ils existaient plus.

"Et toi Louis-san ?"

Louis écouta attentivement. La vie ne semblait pas avoir fait de cadeau à Kyo :

Oh, moi, j'ai une vie de gosse de riche, moncpère est neuro-chirurgien, ma mère chirurgien orthopédique. Ils ont divorcé et j'ai été balloté de l'un à l'autre. En fait pour être franc j'étais l'objet de leur guerre et c'est mon père qui a gagné. Je vis avec lui depuis, mais j'ai du mal à être à l'aise en société. Sinon je suis fils unique, pas de frère, ni de soeur juste moi et mon égoïme. Quand aux filles disons qu'elles ne m'intéressent pas. Je crois que c'est tout.

Tout ce que Louis espérait c'est que Kyo ne le rejète pas, il ne supportait plus ce rejet.

Une famille de samouraïs ? C'est un grand honneur.

Kyô écouta Louis avec attentio,, l'orgine ou al richesse des gens ne lui étaient pas une précouupation première. Il aimait les gens parce qu'ils étaient gentils ou sympathique, rien d'autre.

"J'aurai pas aimé vivre ce que tu as vécu ... que mes parents se battent pour ma garde ... ça n'a pas du êtrefacil."

Kyô acquiesca aux paroles de Louis.

"Oui, en effet. Il ne reste plus grand monde qui ai du sang de samurai maintenant."

Il s'avachit sur sn lit en soupirant un peu, fatigué et affamé aussi.

"Je meurt de faim Louis-san, tu veux qu'on aille voir au réfectoire ce qu'ils proposent ?"

Effectivement, se ne fut pas rose tous les jours, mais avec la distance maintenant j'espère que les tentions s'apaiseront.

Pour le jeune français s'étaient encore une blesure à vif. Cette bataille avait surtout pour intêrét d'embêter, l'autre. Ses parents ne s'étaient pas préocupés de son bien être durant cette bataille judiciaire mais de faire le plus mal à l'autre, de lui faire payer cette séparation. Il sourit à Kyo pour le remercier de sa compréhension.
Au moment où il allait répondre pour le repas, son estomac se manifesta de façon bruyante, Louis émit un petit rire gêné.

Euh, je crois que je suis partant, mais je te laisse me guider, je serai capable de me perdre dans un mouchoir !

Kyô acquiesca aux paroles de Louis et se mit à rire lorsqu'il entendit le ventre de son ami.

"Trahi par ton ventre."

Il rit un moment et se leva, il songea un instant puis fini par dire.

"Je ne suis pas sûr du lieu ou c'ets c'est la première fois que je suis venu ici aujourd'hui ... mais on va chercher, quelqu'un nosu indiquera au cas ou."

Il se dirigea vers la porte, l'ouvrit et attendit dans la couloir que lOuis le suive.

[HRP : Alors la suite au refectoire ^^]

RETOUR DU REF

Le retour vers la chambre se fit dans le rire et la bonne humeur. IL faut dire que l'image de Kyo avec un lasso ne cessait de hanter le français qui avait bien du mal à se retenir de rire à chaque fois qu'il regardait son ami. Il réussit quand même au prix de grands efforts à retrouver un semblant de sérieux pour ne pas vexer le jeune homme.

Une fois dans la chambre il se laissa tomber sur le lit, légèrement crevé par la scéance d'abdo forcée (la crise de rire). Il se redressa quand même pour fouiller dans ses affaires de dessins. Ils étaient venus dans un but mettre sur papier les idées dont le cerveau du japonais fourmillait. Il tomba sur un Elfe u'il avait réalisé il y a quelques temps, il sourit pour lui même, car l'être fantastique pouvait ressembler au japonais. Comme quoi l'inspiration était parfois bizarre.

Tiens, c'est toi en version oreille pointue. Je l'ai dessiné il y a quelques moi, mais je trouve qu'il te ressemble assez. Le même air espiègle.

Kyô avait suivit Louis donc et arriva après lui dans la chambre. Il ferma la porte, plus par habitude que par précautions puis s'assit sur son lit.

Lorsque le français lui tendit la fueille il l'a prit et regarda l'elefe un instant avant de rire légèrement.

"En effet, un peu plus beau aussi quand même !"

Le jeune homme se dirigea vers la salle de bain et se rafraichit doucement avant d'enlever son t-shirt sosu lequel on voyait un torse musclé ainsi que de nombreuses cicatrices sur le torse dont une qui le lui barrait entirèremnt ou presque. Il regarda Louis et dit d'un ton d'excuses.

"Fais pas attention ... j'ai trop chaud c'est tout."

Il se dirigea vers la table puis sortit quelques feuilles de brouillons, il se tourna légèrement vers son camarade et lui fit un petit signe pour qu'il vienne.

"On commence par quoi à ton avis ?"

Tu es très bien.

Louis le regarda aller dans la salle de bains, manquerait plus qu'il soit malade avec tout ce qu'il avait mangé. Mais visiblement pas, puis qu'il le vit se rafraîchir simplement, tant mieux, il n'avait pas envie d'aller voir miss piqure. Brrr rien que d'y penser, il sentit un frisson le parcourir. Lorsqu'il releva le regard il tomba sur un Kyo torse nu, et admira la musculature du jeune homme, lui était plutôt fin, pas maigre, non, il avait des muscles mais tout en finesse, ce qui le complexait assez d'ailleurs même si il avait chaud, il n'osait pas enlever sa veste. Son regard s'attarda sur les nombreuses cicatrices, et bien il semblait avoir vécu. S'apercevant de son regard insistant, il baissa le regard en rougissant légèrement :

Désolé.

Le français hésita quelques secondes avant de le rejoindre, il craignait que le japonais ait mal prit son regard. Aussi il s'assied à ses côté, en évitant de croiser son regard, pourtant il ne pu que revenir vers la profonde cicatrice et y passa ses doigts avant de reculer, légèrement inquiet de la réaction du japonais :

Je m'excuse. Qu'est-ce qu'il t'est arrivé ?

En attandant la réponse de son ami, il prit une feuille et un crayon est commença à griffonner une caricature de l'infirmière.

Kyô vit le regard de Louis poser sur son torse, certainement, sur ses cicatrices d'ailleurs. Il s'efforça de sourire, ça ne le vexait pas en fait mais il n'aurait pas du enlever ce fichu t-shirt. Il entendit Louis et fit un sourire

"Ce n'est pas grave, j'aurai du garder ce maudit t-shirt ^^, non je plaisantes ..."

Le jeune nippon se contracta en sentant les doigts de Louis ... pas de dégoût ni quoique ce soit qui ressemble à ça juste que lorsqu'il avait eu cette cicatreice, ça lui avait faittellement mal que maintenant il avait toujours l'impression que la douleur était là ce qui n'était, hueresement, pas le cas.

Il vit le français prendre un feuille et un crayon et commencer un caricature de l'infirmière puis il répondit au jeune homem de façon assez évasive.

"Oh ... ce n'est rien, un coup de couteau rien de plus."

Il prit lui aussi un crayon et commença à manganisé (ça ce dit pas, je sais ^^) la caricature de l'infirmière ce qui donnait quelquechose de particulièrement ridicul. Il lui laissa les talons qu'il exagèra considérablement et aussi, la chevelure verte.

Louis resta scotché sur sa feuille, il se sentait très mal et hésitait à quitter la chambre. Il s'en voulait d'avoir osé touché la cicatrice de son ami, mais ça l'avait tellement impressionné qu'il avait voulu s'assurer que ses yeux ne le trompait pas. Il sursauta en entendant Kyo. Un coup de couteau ? Le français releva son regard vers le jeune homme, légèrement interrogateur, mais le rebaissa vite, il n'arrivait pas à arrêter de s'en vouloir. Il vit le japonais en train de dessiner et sourit devant le dessin, il adorait le style du jeune homme. Mais se sentant très mal, il préféra se lever et s'asseoir sur son lit.

Tu dessines très bien, j'aimerai pouvoir faire pareil.

Le brun récupéra son carnet de croquis et essaya de créer un dessin manga de l'indirmière, mais lorsqu'il vit le résultat, il sourit légèrement triste, le résultat était trop carré, ça n'allait pas du tout. Il osa enfin relever le regard vers Kyo et lui montra son dessin :

C'est pas ça. Je.....je m'excuse de t'avoir touché, je ne voulais pas.... je te promets Kyo.

Kyô fini en quelsues traits l'infirmière, il était, quand à lui assez peu content du résultat ... il trouvait que quelquechsoe n'alalit pas avec son dessin mais il n'aurait su dire quoi et en fait ne voyait pas ce qui clochait.

"Merci Louis ^^ Tu dessines très bien aussi ! Nosu avons totu les deux un style différent mais tout aussi beau. Ton elfe est absolumetn magnifique .... et puis, je t'ai promis, je t'apprendrais ! Peux même commencer maintenant !"

Le jeune homme se leva pour rejoindre lOuis et regarder son dessin, il sourit et avec son propre crayon il montra à Louis les quelques traits qui n'allaient pas et lui montra ensuite comment faire. Arrangeant légèremnt le dessin

Il leva la tête en entendant Louis avant de répondre.

"Je t'ai déjà dit que ce n'était pas grave ! Tu va me fâcher à continuer à t'excuser comem ça .... tu as rien fait de mal alors arrêtes !"

Il l'avait pas du totu mal prit, il n'avait pas été s'imaginer quoique ce soit ... il comprenanit une telle réaction en fait, sa cicatrice étant assez impressionnate.

Un sourire d'excuse apparut sur le visage du français. Il regarda les corrections de Kyo sur son propre dessin et effectivement, il comprenait d'où venait ses erreurs. Il tourna la page de son carnet, et recommença en essayant de dessiner un nouveau perso, un écolier. Mais à nouveau, le dessin était trop carré et trop....linéaire. Il soupira et regarda Kyo :

Tu vas avoir du boulot avec moi. Regarde moi ça c'est trop carré, on dirait.......je ne sais pas.

Il osa enfin regardait son ami et essaya de lui explquer ça réaction, sans le vexer.

Je vais essayer de ne plus m'excuser, mais j'ai tellement de mauvais souvenirs, que j'ai toujours une crainte. Même si avec toi c'est idiot, je le sais. Je.... tu veux bien me dire comment ça t'est arrivé ?

Le nippon baissa sa tête afin de regarder de nouveau le dessin d'écolier de Louis. Il sourit et fit quelques corrections en expliquant à Louis ce qui n'allait pas et lui montrant bien chaques lignes qu'il cangeait.

"Tu vois, ce n'est pas difficil. Et puis t'en fais aps ... je suis très patient.""

Il sourit lorsqu'il croisa les yeux de Louis, content que celui-ci ose enfin relever la tête.

Il fronça légèrement les sourcils ... il avait envie de répondre et d'un autre côté non, il fini par répondre.

"Le truc bête en fait ... un joru j'étais en retard chez moi, je susi passé dans une rue du "territoire" d'une autre abnde, il y avait deux mecs camés qui étaient là. Un j'ai réussit à le maîtriser parce que la dose qu'il avait prise faisait qu'il ne savait même plus qui il était et l'autre à eu le temps de me planter avant que je l'asommes."

Il tourna sa tête et se remit à dessiner ... ce sujet lui était particulièrement douloureux et il aimai pas s'y attarder en fait.

Louis nota chaque chagement efectué par Kyo, effectivement son ami arrivait à lui expliquer simplement et efficacement seserreurs, restait à les mattre en pratique. Il posa son crayon et écouta le japonais lui parler de sa cicatrice et il se mordit la lèvre, son ami ne semblait plus très bien sûrement que Louis avait fait ressortir de mauvais souvenirs.

Doucement, comme à son habitude, il posa sa min sur l'épaule de son ami et posa son regad calme et doux dsanscelui de Kyo, pour essayer de calmer ce qu'il sentait gronder à l'intérieu de son ami. Il ne s'excusa pas, Kyo, lui ayant dit qu'il ne voulait pas l'entendre s'excuser. Alors il employa les grand moyens, fort infantiles d'ailleurs et sauta sur son ami.......pour le couvrir de chatouilles, histoires de détendre l'atmosphère.

Pour le moment, il avait le dessus sur son ami, mais si Kyo se décidait à répondre, il allait perdre à ce petit jeu.

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